Pendant que les tables rondes tournent en rond…
La gestion des déchets, c’est une question de survie.
La survie des agriculteurs, c’est une question de vie.
On sait retraiter tous les déchets. Mais pour qu’ils arrivent aux usines de retraitement, il faut modifier la fiscalité sur le stockage: tant que l’on favorisera les entreprises de collecte des déchets qui stockent et enfouissent, les déchets n’arriveront pas dans les usines de retraitement…
Quant aux agriculteurs, entre artisans et industriels, il existe une variété de situations mais le mal être est certain, entre pression de plus en plus grande des normes, de l’encouragement à l’endettement, augmentation des coûts, pression des grands groupes monopolistiques des semences et produits phytosanitaires (pour que les agriculteurs en achètent plus et de façon récurrente) plus marges arrières dans les circuits de distribution, etc. Sans compter le nombre d’enfants d’agriculteurs qui ne veulent pas reprendre les exploitations.